25 Août : Lac Blanc par le refuge Jean Collet

Nous étions 7 stdistes pour cette belle journée au Lac Blanc, en passant par le refuge Jean Collet où nous avons été très bien accueillis à l’aller comme au retour. Le beau temps a permis la baignade pour certain(e)s d’entre nous.

Merci à Jean-Louis pour le reportage photos.

Philippe

6-7 juillet – Refuge Adèle Planchard et Pointe Breevort

Avec ses sons énigmatiques de la veille, le barde celtique a fait neiger
hier matin à la brèche Giraud-Lézin (3668 m selon IGN), à 6H30 exactement,
après les rougeoiements flamboyants et orientaux. Les cordées présentes
au plus haut point du glacier sous redescendues vite fait.

La vague de chaleur de la semaine précédente a fait apparaître la glace grise
en haut de la pente de neige sous le col où il est bon de prendre pied pour
finir l’arête Est de la Pointe Breevort. C’était austère et pas très engageant.

Après les averses de neige, le soleil s’est pointé, et quelques acharnés ont pu
apparaître, vus du refuge, comme de petits points rouges sur le sommet
de la grande Ruine, au dixième coup des dix heures.

Yann

23 Juin : Rocher de l’Ours et La Main – Vercors

Sortie de ce dimanche sous la houlette de Daniel qui nous a fait découvrir quelques curiosités géologiques.

Christian

 

16 Juin : Carrières romaines – Vercors

Nous étions 7 stdistes pour affronter la bise et les nuées au Pas de l’Aiguille, puis lors la traversée du plateau de Peyre Rouge.

Mais le soleil nous attendait à la Carrière Romaine, notre objectif. Juchés sur leur piédestal certains se sont pris pour César, d’autres pour Vénus… mais passons !

Pour la majeure partie de ce parcours, et jusqu’au Pas de la Selle, nous avons utilisé au mieux des petites sentes désertiques à peine visibles, mais cairnées.

Retour par le Col de l’Aupet et descente sur Richardière, suffisamment fatigués pour apprécier la terrasse du « Gai soleil du Mont Aiguille ». Un sympathique dimanche.

Jean-Louis

 

8 et 9 Juin : WE initiation alpinisme

Nous étions 7 membres de la std ainsi que Philippe L. et moi même avec Philippe notre guide pour aborder et réviser les différentes  techniques de progression avec piolet et crampons, d’encordement sur glacier, d’assurage, de franchissement de corniche, en mouvement , faire des anneaux de buste version glacier, faire un corps mort, enrailler la chute d’un équipier, se soulager au fond d’une crevasse et même tester la remontée sur corde fixe. Mais aussi progresser en version rocher, avec les anneaux à la main, réaliser un  noeud de cabestan à une main, faire un demi cabestan. Bref, le programme a été complet et l’ambiance bien sympathique sur le terrain et au gîte aux fréaux.

Bénédicte

31 Mai : Sortie animalière

Nous avons fait la boucle Pont de Valombre -> le Collet -> sommet du Charmant Som -> point 1729 -> Chamechine -> fontaine de l’Oursière -> col de la Cochette -> Malamille et retour à la voiture (1300 m de dénivelé). Déjà, au Collet, nous avons pu apercevoir en face quelques Rupicapra cartusiana nonchalantes et le troupeau des mouflons mâles, la moitié broutant dans la prairie et le bois, l’autre moitié se reposant dans le pierrier. A la redescente du sommet, après le point 1729, plus personne dans les cailloux (faut dire qu’il y a encore des névés assez conséquents dans le couloir du Charmant Som). Après la remontée à Chamechine, à partir du début de la descente du plateau du haut, on entend « bêêêh » dans le lointain, et… un peu plus bas, y’avait de beaux troupeaux, les prairies étaient pleines de brebis et d’agneaux.

Yann.

26 Mai : Pas de la Lauze

On a eu plusieurs fois le soleil, le vent et le brouillard, on a un peu marché dans la neige, on a vu plein de gentianes mais pas un chamois, la neige au fond du trou, les orchis civils et militaires, et Anne a trouvé deux morilles parce qu’on était très silencieux.

Yann.

20 au 22 avril : Week-end de Pâques en Lauzière

Rassemblement le samedi 20 avril 2019 pour 7H30 à St Ismier et direction Celliers.

Cette année c’est chez Manu au « Logis des Fées » que nous sommes accueillis, le refuge est situé à 1845m d’altitude. Attention dans ce cas de belles pentes nous surplombent sur le flanc nord (Ne pas trainer…) dans tous les cas la route forestière reste très tranquille car située dans les bois.

Départ (10h30) à pied puis en alternance ski/portage (pas trop de neige cette année) jusqu’au refuge (Casse-croûte + café) et on enchaîne par le Grand Plan situé 300m au-dessus. Belle neige transformée pour cette première descente jusqu’au Fées, et là la journée n’est pas terminée, Jaco nous invite à l’édification d’un igloo (Méthode Nordique).

Le dimanche 21 avril après une bonne nuit de sommeil, nous prenons l’option de monter aux Portes de Montmélian (2460m). Pour accéder au vallon principal il nous faut redescendre à 1700m, la montée se fait par un cheminement sympa jusqu’aux Portes.

Depuis le sommet deux groupes se forment , le premier empreinte l’itinéraire de montée et le second traverse à flanc sous les Frettes et le Pic St Jacques avant de se retrouver tous un peu plus bas pour déjeuner et poursuivre par une manip DVA en guise de dessert (on y passe tous) Dom et Jaco nous ont préparé le terrain de jeu avec 2 victimes.

Le lundi 22 avril nous quittons les Fées vers 8h00 afin de se lancer vers le Rognolet pour certains et pour les autres de remonter dans le vallon sous Saint Jacques (Frettes) . Même itinéraire que la veille pour démarrer et nous déposons (1850m) dans des sacs poubelles les affaires qui ne nous serviront pas (trousse de toilettes,pyjama…) car en effet nous ne repasserons pas au refuge. Ce jour le regel est moindre , donc le Rognolet (2659m) pour le premier groupe ce sera pour une autre fois , celui-ci s’arrêtera au col de Montarlier (2400m) et profitera à la descente d’une neige encore acceptable car l’exposition est nord. Le deuxième groupe qui était parti en direction des Frettes profitera également d’une neige excellente après avoir atteint une large bosse au sommet aplani (2410m).

Nous nous retrouvons tous à la bifurcation (2050m) de nos deux itinéraires vers 12h00 et nous rejoignons le lieu de dépose matos afin de déjeuner. La fin de parcours est un peu épique en rive droite du torrent (Déchaussage 2 fois) puis neige lourde mais skiable pour rejoindre nos véhicules.

Cette fin de saison se termine avec un bon et beau WE accompagné de notre nouvelle équipe CA ‘Dom le « Prez », Bene le « Trésor » , Jaco la « gribouille » et notre adorable secrétaire Béa.

Je tenais à remercier toute l’équipe pour sa bonne humeur et sa participation à tous les ateliers proposés sans oublier les Gâteaux et les œufs de Pâques.

DD

5 Mai : ballade comme en hiver

Comme nous n’étions que deux, et que la météo allait nous faire une
grosse bise, nous sommes allés à Mont Saint Martin, sur le chemin
des Bannettes, où il n’y avait presque pas un poil de vent,
mais où il ne s’est pas arrêté de tomber une neige très fine qui
s’insinuait partout même sous les pessières les plus sombres. Départ de
l’église à 750 m, avec 5 cm de lourde, arrivée en haut du pré de
mi-parcours à 1370 m, avec 25-30 de poudre. Comme Anne n’avait pas pris
ses gants et ses guêtres, on n’est pas allés plus haut. Je ne sais pas
si on a bien fait de renoncer à Saint Laurent du Pont et à Repison,
mais on a bien fait de renoncer aux arêtes du Néron.

Yann

14 avril : Pic St Michel

Maintenant, pour partir des Allières, il faut avoir la foi ou utiliser
la formule de la lévitation… Par contre, quand on part du stade de
neige de Lans, c’est tout bon, départ de la bagnole et retour à ski.
La neige était dure, mais pas trop, un peu de givre de surface
arrangeait la tôle. Il y a un chemin « montée » qui quitte la piste
sur la droite vers 1530 m (sommet du premier tire-fesse);
il monte suffisamment raide pour qu’on n’ait pas le sentiment qu’il nous
promène inutilement ; il arrive dans la grande combe juste sous le Pic
Saint Michel vers 1750 m.
Il vaut mieux que la neige soit encore dure pour la descente, car,
si l’on ne veut pas remettre les peaux, il faut traverser assez
longuement vers le Nord, vers 1800 m d’altitude, et autant traverser
sans ramer. Après quelques virages, on trouve un chemin « descente »,
que l’on prend à peu près à 1670 m (au milieu de la pente, à
un embranchement avec le chemin « montée »); il est en faux-plat
descendant jusqu’à la piste. La piste elle-même était un peu pleine de
rails, mais ça allait quand même, on trouvait quelques surfaces lisses
de temps en temps pour tourner.

Yann