21 Octobre : Tête des Chétives

Nous avons fait un joli tour de 1600 m de dénivelé, dimanche 21/10. Départ du parking de Confolens, montée par le vallon du rif de Meyol  jusqu’à la Tête des Chétives, où il y avait une grosse bise. Casse-croûte au lac Labarre, col de la Romeiou et retour par la cabane de la Selle.

Yann.

14 Octobre : l’Arche du Vet

Ce n’est pas un itinéraire à mettre entre toutes les mains. Déjà, il faut trouver le sentier au départ de Gragnolet. En fait, pour éviter les broussailles, il faut chercher tout de suite, et prendre au début, le lit du torrent. Ensuite, dans la Combe du Pré du Rat, la trace est assez bien marquée, mais on la perd un peu quand même. Et pour quitter la combe, faut pas se gourer non plus. On a rehaussé le cairn. Plus haut, à partir du point de traversée de la Combe du Vet, il n’y a plus aucun sentier, il faut traverser en direction de l’arche à la courbe de niveau dans les prés pentus, en veillant à rester en dessous de la barre de basalte (nous sommes montés un peu trop haut, donc nous avons un peu erré dans les traces de chamois). L’arche, ce sont deux grosses bêtes de pierre qui se font un bisou (l’idée est de Denise, photo ci-jointe). Heureusement, la descente se fait de l’autre côté, par le confortable sentier principal du Vet, dans la Combe des Roberts, jusqu’à Entraigues.
NB : les autochtones prononcent Vett.

Yann

22-23 Septembre : W-E plateau d’Emparis – Pic Mas de La Grave

La météo l’avait prédit : grand beau tout le W-E pour le (grand) tour du plateau d’Emparis de 9 stdistes. Pourtant samedi matin les vallées étaient noyées dans un épais brouillard et il a fallu attendre Besse pour découvrir le ciel bleu.

– Samedi : Montée sur le plateau par le col St Georges. A partir de là omniprésence de La Meije en fond d’écran ! Visite « touristique » des lacs. Col du Souchet, passage de la Berche et descente sur le vallon du Gâ au bout duquel nous plantons nos tentes. Coucher de soleil sur la Meije : Whaou !

D+ 1150 m / marche 6H00

– Dimanche : Lever de soleil sur La Meije : re-Whaou ! Montée vers le Col des 30 Combes puis nous optons pour l’ascension (raide) du Pic du Mas de La Grave (3020 m).

Encore un Whaou ! Quel Panorama ! Nous rejoignons le plateau par le bucolique vallon du Rif Tort, puis le Col St Georges et Besse. Bistrot bien mérité.
D+ 1100 m / marche 6H30

Jean-Louis

22/23 septembre : W-E plateau d’Emparis – Pic Mas de La Grave

La météo l’avait prédit : grand beau tout le W-E pour le (grand) tour du plateau d’Emparis de 9 stdistes. Pourtant samedi matin les vallées étaient noyées dans un épais brouillard et il a fallu attendre Besse pour découvrir le ciel bleu.

– Samedi : Montée sur le plateau par le col St Georges. A partir de là omniprésence de La Meije en fond d’écran ! Visite « touristique » des lacs. Col du Souchet, passage de la Berche et descente sur le vallon du Gâ au bout duquel nous plantons nos tentes. Coucher de soleil sur la Meije : Whaou !

D+ 1150 m / marche 6H00

 

– Dimanche : Lever de soleil sur La Meije : re-Whaou ! Montée vers le Col des 30 Combes puis nous optons pour l’ascension (raide) du Pic du Mas de La Grave (3020 m).

Encore un Whaou ! Quel Panorama ! Nous rejoignons le plateau par le bucolique vallon du Rif Tort, puis le Col St Georges et Besse. Bistrot bien mérité.
D+ 1100 m / marche 6H30

Jean-Louis

Fin juillet : Tour du Pic de Bure

Avec Pascale et Lucas, nous avons fait le tour du Pic de Bure en 3 jours, en autonomie, fin juillet. Très joli parcours, belles fleurs partout, bien que ça soit très chaud et plein de
cailloux.

– 1er jour départ de l’IRAM, puis col de Rabou ; la descente ducol de Rabou vers le petit Buëch et sous le cagnard est un calvaire comme dirait Eric (mais à l’envers puisque ça descend) ; heureusement, il y a un petit torrent bien frais en bas (fourni cette année) et une chapelle (pour terminer pieusement le calvaire). 1er bivouac à la fontaine de Bure ; avec les vaches curieuses et supérieures en nombre, plus l’orage, on a cru qu’on n’arriverait pas à bouffer.

– 2ème jour de la Fontaine de Bure aux Sauvats, longue traversée légèrement descendante (avec des rats pontiques partout dans les coins), kolossale fontaine au col de Matacharre, puis franche descente, mais moins cagnardeuse que la veille ; en cas de cagnard sévère, torrent en bas (fourni cette année) ; pique-nique aux Sauvats (très cosy, tables et bancs, fontaine), puis montée à la fontaine du Vallon (dernier point d’eau connu avant le pays de la soif totale) ; bivouac ; ça a tonné mais ça a peu plu.

– 3ème jour Bure traversée combe d’Aurouze – combe Ratin ; pour terminer sans mourir
de soif, on a piqué de l’eau sur un joint fuyard du tuyau de berger qui sort d’une grotte, à Denflairar. Variante : du bivouac de la fontaine du Vallon, la combe de Mai est praticable ; du coup, on peut aussi bien passer par la Tête de la Cluse, à la place du Pic de Bure.

Yann.

début août : Tour des Grands Combins

En ce qui nous concerne, la semaine dernière, sous la conduite de Daniel, nous avons promené nos gros souliers autour du Grand Combin

Partis d’un petit hameau (Vaud) en Valpeline (Italie) au-dessus d’Aoste, nous avons cheminé pendant 7 jours essentiellement en Suisse.

Un beau parcours de haute randonnée, exigeant en raison de belles pentes à la montée comme à la descente, et par la longueur de certaines étapes, tout en précisant qu’en cas de névés persistants, certains tronçons sont exposés.

De superbes panoramas, le ou les Combins sous toutes les coutures et avec divers éclairages, particulièrement depuis le refuge Panossière, refuge atteint après le franchissement d’une passerelle himalayenne de 190m de longueur et à 80m de hauteur.

Le Combin culmine tout de même à plus de 4300m, c’est (encore) le domaine des grandes étendues glaciaires même si les conséquences du réchauffement sont manifestes

Le dernier jour, quelques touristes aux mollets particulièrement affûtés et ne craignant pas l’enchaînement d’une dénivelée négative de + de 2000m!) sont allés gravir un sommet à + de 3400m (le mont avril) et s’accroupir pour nous ramener de sympathiques bouquets de génépi

A votre santé

Jacques P

 

week-end 14 juillet : Champsaur

Nous étions 6 à partir pour le week-end du 14 juillet dans le Champsaur, massif qui a l’avantage de ne pas être trop éloigné de Grenoble.
J1 : Col de l’Ardouère en boucle à partir de Molines en Champsaur. Montée par le Vallon des Pins où la vigilance est de rigueur avec un névé tardif. La descente nous conduit à la cabane de Peyron-Roux après avoir franchi le Torrent du Vallon. Nous rejoignons ensuite notre gîte ‘Le Chamois’ situé aux Marrons à Chaillol : Excellent accueil avec cuisine du terroir.
J2 : Destination le Vieux Chaillol en partant au-dessus de Chaillol 1600 et en passant par le Col de la Pisse et la Cabane des Parisiens. Surpris par l’orage après 100m de dénivelé, nous retournons aux voitures nous abriter pendant plus d’une heure. Vrai départ tardif à 10h, seuls trois d’entre nous irons jusqu’au sommet (Michel C. Lionel P. et Bernard S.), Les autres attendrons à la Cabane des Parisiens.
J3 : Prolongation pour les 4 retraités, avec au programme sur le chemin de retour, Les Lacs de Pétarel à partir des ‘Andrieux’.
Merci à Bernard S. pour le reportage photos.
Un très bon week-end malgré un peu de pluie.

Philippe F.

8 juillet : Lac vert

Le troupeau était un peu réduit (3 personnes) mais j’ai réussi à le perdre dans la forêt, ou plutôt la jungle du Gargotton : nous nous sommes faufilés entre les fougères arborescentes trempées de rosée, nous avons pataugé dans des sentiers transformés en ruisseaux (peut-être étaient-ce de vrais ruisseaux), nous avons presque réussi à éviter les vernes et les rhodos et, ouf ! nous avons débouché dans un bel alpage fleuri d’arnicas. Nous avons retrouvé le sentier du lac, raide et parsemé de pierriers mais bien balisé, nous avons admiré les anémones soufrées et un joli spot de lycopodes (Huperzia selago, de petites choses vertes comme les botanistes adorent),et nous nous réjouissions déjà à l’idée
de nous tremper dans une eau claire mais… le lac était encore presque entièrement recouvert de neige (altitude 2160 m). C’est quand même un bel endroit, frais et peu fréquenté (nous n’avons vu qu’un chamois et une marmotte qui se sont éclipsés rapidement), à recommander par temps de canicule. Merci à ceux qui n’ont pas râlé quand nous étions égarés dans les broussailles !

Anne

Juin : Rassemblement St Etienne en Devoluy

On a eu du bol avec la météo. On n’a pas eu
froid le samedi soir (la bise était tombée). Le camping était
pratiquement vide et pour nous tout seuls (on voit que c’est pas encore
les vacances). On n’a pas eu trop chaud pour le Pic de Bure (Météo
France a opportunément mis des nuages). La neige était molle
(heureusement, car on n’avait pas les crabes, sauf Dominique). Les
chamois nous ont maté de loin. Les p’tites fleurs en coussinets nous ont
regardé de près (le plateau d’Aurouze est plus vivant qu’on ne
croirait).

Yann

17 Juin : Piquet de Nantes

On a vu le Piquet de Nantes, on a même pu le
toucher. Il est en bois, haut de 2 m environ, et il a une étiquette avec
écrit dessus « Piquet de Nantes, altitude 2214 m ».

Yann