Fin juillet : Tour du Pic de Bure

Avec Pascale et Lucas, nous avons fait le tour du Pic de Bure en 3 jours, en autonomie, fin juillet. Très joli parcours, belles fleurs partout, bien que ça soit très chaud et plein de
cailloux.

– 1er jour départ de l’IRAM, puis col de Rabou ; la descente ducol de Rabou vers le petit Buëch et sous le cagnard est un calvaire comme dirait Eric (mais à l’envers puisque ça descend) ; heureusement, il y a un petit torrent bien frais en bas (fourni cette année) et une chapelle (pour terminer pieusement le calvaire). 1er bivouac à la fontaine de Bure ; avec les vaches curieuses et supérieures en nombre, plus l’orage, on a cru qu’on n’arriverait pas à bouffer.

– 2ème jour de la Fontaine de Bure aux Sauvats, longue traversée légèrement descendante (avec des rats pontiques partout dans les coins), kolossale fontaine au col de Matacharre, puis franche descente, mais moins cagnardeuse que la veille ; en cas de cagnard sévère, torrent en bas (fourni cette année) ; pique-nique aux Sauvats (très cosy, tables et bancs, fontaine), puis montée à la fontaine du Vallon (dernier point d’eau connu avant le pays de la soif totale) ; bivouac ; ça a tonné mais ça a peu plu.

– 3ème jour Bure traversée combe d’Aurouze – combe Ratin ; pour terminer sans mourir
de soif, on a piqué de l’eau sur un joint fuyard du tuyau de berger qui sort d’une grotte, à Denflairar. Variante : du bivouac de la fontaine du Vallon, la combe de Mai est praticable ; du coup, on peut aussi bien passer par la Tête de la Cluse, à la place du Pic de Bure.

Yann.

29 Juillet : Roc cornafion arête sud

Finalement cette arête sud ça ressemble à de la randonnée , puisque pascale D. était en tennis et moi en chaussures de randonnée (je croyais avoir mis les chaussons dans le sac à dos) ; bon il y a tout de même un petit rappel sans toucher le rocher, 2 pas d’escalade qui ressemblent à du 4 inf (j’ insiste sur le inf ça change tout)  et une longueur en 3+/4 à la fin avec 2 pitons (je vous laisse choisir). Pas vu un spit, mais 1 anneau de rappel et plus loin un autre anneau de sangles pour descendre dans un petit couloir raide sans choir.
 On n’ avait pas emmené de montre, donc on ne sait pas exactement combien de temps on a mis et comme le dit christophe Dumarest ‘les projets qui ne convoquent que l’altitude ou le chronomètre sont un aveu de manque d’imagination » (formule extraite de son reportage sur son granit’tour dans le n° d’alpes magazine d’août /septembre 2018 ).
Jean Luc

29 Juillet : Roc cornafion arête sud

Finalement cette arête sud ça ressemble à de la randonnée , puisque pascale D. était en tennis et moi en chaussures de randonnée (je croyais avoir mis les chaussons dans le sac à dos) ; bon il y a tout de même un petit rappel sans toucher le rocher, 2 pas d’escalade qui ressemblent à du 4 inf (j’ insiste sur le inf ça change tout) et une longueur en 3+/4 à la fin avec 2 pitons (je vous laisse choisir). Pas vu un spit, mais 1 anneau de rappel et plus loin un autre anneau de sangles pour descendre dans un petit couloir raide sans choir. On n’ avait pas emmené de montre, donc on ne sait pas exactement combien de temps on a mis et comme le dit christophe Dumarest ‘les projets qui ne convoquent que l’altitude ou le chronomètre sont un aveu de manque d’imagination » (formule extraite de son reportage sur son granit’tour dans le n° d’alpes magazine d’août /septembre 2018 ).
jean luc

début août : Tour des Grands Combins

En ce qui nous concerne, la semaine dernière, sous la conduite de Daniel, nous avons promené nos gros souliers autour du Grand Combin

Partis d’un petit hameau (Vaud) en Valpeline (Italie) au-dessus d’Aoste, nous avons cheminé pendant 7 jours essentiellement en Suisse.

Un beau parcours de haute randonnée, exigeant en raison de belles pentes à la montée comme à la descente, et par la longueur de certaines étapes, tout en précisant qu’en cas de névés persistants, certains tronçons sont exposés.

De superbes panoramas, le ou les Combins sous toutes les coutures et avec divers éclairages, particulièrement depuis le refuge Panossière, refuge atteint après le franchissement d’une passerelle himalayenne de 190m de longueur et à 80m de hauteur.

Le Combin culmine tout de même à plus de 4300m, c’est (encore) le domaine des grandes étendues glaciaires même si les conséquences du réchauffement sont manifestes

Le dernier jour, quelques touristes aux mollets particulièrement affûtés et ne craignant pas l’enchaînement d’une dénivelée négative de + de 2000m!) sont allés gravir un sommet à + de 3400m (le mont avril) et s’accroupir pour nous ramener de sympathiques bouquets de génépi

A votre santé

Jacques P

 

début août : Tour des Grands Combins

En ce qui nous concerne, la semaine dernière, sous la conduite de Daniel, nous avons promené nos gros souliers autour du Grand Combin
Partis d’un petit hameau (Vaud) en Valpeline (Italie) au-dessus d’Aoste, nous avons cheminé pendant 7 jours essentiellement en Suisse.
Un beau parcours de haute randonnée, exigeant en raison de belles pentes à la montée comme à la descente, et par la longueur de certaines étapes, tout en précisant qu’en cas de névés persistants, certains tronçons sont exposés.
De superbes panoramas, le ou les Combins sous toutes les coutures et avec divers éclairages, particulièrement depuis le refuge Panossière, refuge atteint après le franchissement d’une passerelle himalayenne de 190m de longueur et à 80m de hauteur.
Le Combin culmine tout de même à plus de 4300m, c’est (encore) le domaine des grandes étendues glaciaires même si les conséquences du réchauffement sont manifestes
Le dernier jour, quelques touristes aux mollets particulièrement affûtés et ne craignant pas l’enchaînement d’une dénivelée négative de + de 2000m!) sont allés gravir un sommet à + de 3400m (le mont avril) et s’accroupir pour nous ramener de sympathiques bouquets de génépi
A votre santé
et merci Daniel pour cette nouvelle et haute découverte
Jaques P.

fin juillet : Tour des Grands Combins

En ce qui nous concerne, la semaine dernière, sous la conduite de Daniel, nous avons promené nos gros souliers autour du Grand Combin
Partis d’un petit hameau (Vaud) en Valpeline (Italie) au-dessus d’Aoste, nous avons cheminé pendant 7 jours essentiellement en Suisse.
Un beau parcours de haute randonnée, exigeant en raison de belles pentes à la montée comme à la descente, et par la longueur de certaines étapes, tout en précisant qu’en cas de névés persistants, certains tronçons sont exposés.
De superbes panoramas, le ou les Combins sous toutes les coutures et avec divers éclairages, particulièrement depuis le refuge Panossière, refuge atteint après le franchissement d’une passerelle himalayenne de 190m de longueur et à 80m de hauteur.
Le Combin culmine tout de même à plus de 4300m, c’est (encore) le domaine des grandes étendues glaciaires même si les conséquences du réchauffement sont manifestes
Le dernier jour, quelques touristes aux mollets particulièrement affûtés et ne craignant pas l’enchaînement d’une dénivelée négative de + de 2000m!) sont allés gravir un sommet à + de 3400m (le mont avril) et s’accroupir pour nous ramener de sympathiques bouquets de génépi
A votre santé
et merci Daniel pour cette nouvelle et haute découverte
Jaques P.

week-end 14 juillet : Champsaur

Nous étions 6 à partir pour le week-end du 14 juillet dans le Champsaur, massif qui a l’avantage de ne pas être trop éloigné de Grenoble.
J1 : Col de l’Ardouère en boucle à partir de Molines en Champsaur. Montée par le Vallon des Pins où la vigilance est de rigueur avec un névé tardif. La descente nous conduit à la cabane de Peyron-Roux après avoir franchi le Torrent du Vallon. Nous rejoignons ensuite notre gîte ‘Le Chamois’ situé aux Marrons à Chaillol : Excellent accueil avec cuisine du terroir.
J2 : Destination le Vieux Chaillol en partant au-dessus de Chaillol 1600 et en passant par le Col de la Pisse et la Cabane des Parisiens. Surpris par l’orage après 100m de dénivelé, nous retournons aux voitures nous abriter pendant plus d’une heure. Vrai départ tardif à 10h, seuls trois d’entre nous irons jusqu’au sommet (Michel C. Lionel P. et Bernard S.), Les autres attendrons à la Cabane des Parisiens.
J3 : Prolongation pour les 4 retraités, avec au programme sur le chemin de retour, Les Lacs de Pétarel à partir des ‘Andrieux’.
Merci à Bernard S. pour le reportage photos.
Un très bon week-end malgré un peu de pluie.

Philippe F.

8 juillet : Tête sud du Replat

Nous avons changé d’objectif (simplification du
parcours). Ce fut donc la Tête Sud de Replat en aller retour par l’arête
Nord-est (plus praticable pour Anne et Thierry). Excellentes conditions
de neige (pas trop dur et pas trop mou). Excellent accueil de la part de
la nouvelle gardienne, Noëmie, qui a quand même quelques problèmes avec
les gros groupes du CAI.

Yann

8 juillet : Lac vert

Le troupeau était un peu réduit (3 personnes) mais j’ai réussi à le perdre dans la forêt, ou plutôt la jungle du Gargotton : nous nous sommes faufilés entre les fougères arborescentes trempées de rosée, nous avons pataugé dans des sentiers transformés en ruisseaux (peut-être étaient-ce de vrais ruisseaux), nous avons presque réussi à éviter les vernes et les rhodos et, ouf ! nous avons débouché dans un bel alpage fleuri d’arnicas. Nous avons retrouvé le sentier du lac, raide et parsemé de pierriers mais bien balisé, nous avons admiré les anémones soufrées et un joli spot de lycopodes (Huperzia selago, de petites choses vertes comme les botanistes adorent),et nous nous réjouissions déjà à l’idée
de nous tremper dans une eau claire mais… le lac était encore presque entièrement recouvert de neige (altitude 2160 m). C’est quand même un bel endroit, frais et peu fréquenté (nous n’avons vu qu’un chamois et une marmotte qui se sont éclipsés rapidement), à recommander par temps de canicule. Merci à ceux qui n’ont pas râlé quand nous étions égarés dans les broussailles !

Anne

Juin : Rassemblement St Etienne en Devoluy

On a eu du bol avec la météo. On n’a pas eu
froid le samedi soir (la bise était tombée). Le camping était
pratiquement vide et pour nous tout seuls (on voit que c’est pas encore
les vacances). On n’a pas eu trop chaud pour le Pic de Bure (Météo
France a opportunément mis des nuages). La neige était molle
(heureusement, car on n’avait pas les crabes, sauf Dominique). Les
chamois nous ont maté de loin. Les p’tites fleurs en coussinets nous ont
regardé de près (le plateau d’Aurouze est plus vivant qu’on ne
croirait).

Yann