CR par Sonia
L’équipe « Silvretta 2024″ est bien rentrée d’Autriche samedi dernier, après une semaine assez intense. << Lire la suite >>
Archives de la catégorie: Compte rendus
16 mars : sortie ski niveau 3 en Belledonne
CR par Béné
Ce jour Didier.D était partant pour la sortie niveau 3 proposée =1828m+
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7 mars : sortie raquettes au Baconnet
CR par Jean-Louis
Profitant de la fenêtre météo et de l’autorisation de nos employeurs nous étions quatre hier sur les hauteurs de Gresse en Vercors. << Lire la suite >>
2 mars : Col de Mouchillon
CR de Sonia
Malgré quelques hésitations au regard de la météo, nous étions 7 pour la traversée du Col de Mouchillon aujourd’hui.
2 mars : Croix de Chamrousse
CR d’Andrea
Nous étions 6 Stdistes ce matin pour aller voir ce qu’il se passait en Belledonne.
25 février Dévoluy Jour 3 : La Vallon des Barges
CR de Yannick
Ciel bleu limpide au p’tit déj, altostratus sur le trajet (dixit Hervé notre expert en nuages), la météo change vite ce matin.
Au menu du jour : le Vallon de Barges, légèrement plus à l’Est que les sorties précédentes. On se gare à deux pas d’une bergerie qui fleure bon le mouton du Dévoluy, un peu après le Pont Du Villard.
Après une séance portage sur les pistes forestières, on chausse rapidement les skis et dans le dédale de chemins, Dédé nous déniche une version courte pour rejoindre le vallon. << Lire la suite >>
24 février Dévoluy Jour 2
CR d’Alice L.
Réveil un peu avant 7h30. Un petit coup d’œil par la fenêtre nous indique une belle journée!
Après un copieux petit déjeuner nous voilà repartis au départ de l’IRAM, téléphérique de Bure vers 1450m.
Quelques minutes de portage jusqu’au premier pylône. On chausse vers 10h et on emprunte le chemin forestier quelque peu caillouteux (mais avec les peaux ça passe!). Il nous permet de traverser pour accéder au vallon froid.
Montée jusqu’à 2000m. Nous cherchons des yeux les chamois mais pas d’indices de leur présence. Nous sommes tantôt au soleil, tantôt nous prenons un petit « grain » neigeux. Sûrement un clin d’œil de la Bretagne en l’honneur de Le Bars et Le Berre ici présents!
Nous retirons les peaux au col sur une bosse, près d’un trou dans la neige dont on ne voit pas le fond. On garde nos distances pour justement éviter d’aller voir le fond de trop près !
Nous faisons une belle descente en poudreuse dans le vallon d’ânes. Un peu à l’aveugle dans les nuages. Nous contournons à distance une coulée descendue sur notre droite.
Petit pique-nique près d’un épicéa. Le pic de Bure joue à cache-cache et nous l’apercevons par moments. Ainsi que nos traces de descente: cheminement parfait, on n’aurait pas fait mieux en y voyant clair! Nous repeautons pour monter jusqu’à la cabane. Là, Dédé repère enfin les chamois planqués derrière les épicéas.
Fin de la descente dans une petite couche de poudre encore bien agréable !
Nous nous retransformons en bêtes à cornes amovibles pour la fin.
Et arrivés en bas: surprise, il n’est que 15h et nous sommes loin d’avoir eu besoin de la traditionnelle frontale des sorties de Dédé!
Ps: j’ai bien fait de dormir dans le Dévoluy car le Simon-réveil-matin à sonné à 5h20!
Après un copieux petit déjeuner nous voilà repartis au départ de l’IRAM, téléphérique de Bure vers 1450m.
Quelques minutes de portage jusqu’au premier pylône. On chausse vers 10h et on emprunte le chemin forestier quelque peu caillouteux (mais avec les peaux ça passe!). Il nous permet de traverser pour accéder au vallon froid.
Montée jusqu’à 2000m. Nous cherchons des yeux les chamois mais pas d’indices de leur présence. Nous sommes tantôt au soleil, tantôt nous prenons un petit « grain » neigeux. Sûrement un clin d’œil de la Bretagne en l’honneur de Le Bars et Le Berre ici présents!
Nous retirons les peaux au col sur une bosse, près d’un trou dans la neige dont on ne voit pas le fond. On garde nos distances pour justement éviter d’aller voir le fond de trop près !
Nous faisons une belle descente en poudreuse dans le vallon d’ânes. Un peu à l’aveugle dans les nuages. Nous contournons à distance une coulée descendue sur notre droite.
Petit pique-nique près d’un épicéa. Le pic de Bure joue à cache-cache et nous l’apercevons par moments. Ainsi que nos traces de descente: cheminement parfait, on n’aurait pas fait mieux en y voyant clair! Nous repeautons pour monter jusqu’à la cabane. Là, Dédé repère enfin les chamois planqués derrière les épicéas.
Fin de la descente dans une petite couche de poudre encore bien agréable !
Nous nous retransformons en bêtes à cornes amovibles pour la fin.
Et arrivés en bas: surprise, il n’est que 15h et nous sommes loin d’avoir eu besoin de la traditionnelle frontale des sorties de Dédé!
Ps: j’ai bien fait de dormir dans le Dévoluy car le Simon-réveil-matin à sonné à 5h20!
23 février Dévoluy Jour 1
CR par Catherine A.
Gîte du Rocher Rond chez Jeanne.
La Chaup
Séjour organisé par Andrea C pour le groupe des Poissons Volants.
Nous partons pour le Dévoluy avec nos maillots de bain pour une météo peu engageante mais on s’engage qd mm parce qu’ on n’est pas des quand-même et même pas peur, d’abord.
Et soudain : chance de débutants ? Chance de cocus ? Chance de stdistes fraîchement licenciés ?
Allez savoir…Soleil ET neige tombée du camion la veille ET chamois trop mignons nous rassurent : on a bien fait d’y aller !
On décolle de l’IRAM ( 1450m).
Nous passons sous les fils de la benne et nous nous engageons ds la Combe de la Corne juste en dessous des fils pour commencer. Ensuite, on change de cap vers l’Est puis Sud pour contourner le gros rognon.
1ère montée vers un petit promontoire à notre droite et là, une dinguerie : une horde de 9 chamois ( avec leurs petits !) nous surplombe dans une grande pente de neige bien dégagée. Cela nous pousse à philosopher un peu : en fait, qui observe qui ? Ils sont parfaits : rapides, élégants, curieux, prudents, altiers…et nous, beaucoup moins.
Allez, on s’arrache de là sous leur surveillance poilue, avant que de nous voir pousser les cornes et les sabots.
Descente de quelques 100m en poudre cocaïnée (pour preuve : les petis cris Dédéïformes ) puis on repeaute pour remonter dans une deuxième combe, toujours un peu plus haut sur notre droite, pour arriver à notre petit sommet à 2111m. De là, nous dominons la trouée impressionnante de la Traversée Héroïque.
– Personne pour y descendre ?
– Personne.
– Bien vrai ?
– Vrai.
– Sûr ?
– Sûrs.
( voici retranscrit un beau dialogue de montagnards).
Et alors ? On descend et on fait les poissons volants sur une poudre douce et légère, légère, légère…
Le soir, s’en suivra une singulière discussion sur les « draplas ». Mais cela sera l’objet d’un autre compte-rendu.
Le banc de poissons volants : Andrea C., Alice L-B, Muriel R, Yannick A., Marie L, Thierry C, Hervé L-B ( excusé pour la journée ) et Catherine A.
