18 Octobre : Col de la Croix, boucle du lac du Lauzon

Il fallait y croire pour partir sous une couverture nuageuse quelque peu dense! mais après 2 heures dans le froid, le brouillard, et la neige, la récompense finit par arriver, et le pic-nic aussi!

Départ au sud de Château-Méa, au moins 250 lacets dans les champignons pour le plateau de Paille, carrière lithographique, col de la Croix, col des Aurias, lac du Lauzon, retour par la cabane de Fleyrard, re-col de la Croix,fontaine des Boeufs.

Merci à Jean-Louis pour cette exténuante (!) mais belle randonnée.

Jacques M

11 octobre : sous le Petit Som

Habert de Bovinant par le pas du Loup, dans le froid, le vent, le brouillard, le givre, le soleil, 2 chamois, mais pas la pluie.

Merci Anne d’avoir minuté au mieux la sortie!

Jacques M

12 et 13 septembre : Rassemblement STD

Ce week-end, c’était rassemblement STD à St Étienne-en-Dévoluy, un de nos coins préférés. Au programme du samedi, Dédé proposait une initiation au canyoning avec le canyon des moules marinières. Une nouvelle activité au club qui, au vu de la mine réjouie des participants, doit être vraiment sympa. Dimanche le groupe de Dédé optait pour la via ferrata avec la via souterraine « Souterrata de la lune » suivie de celle des Etroits tandis que le reste du groupe préfèrait le grand air avec le pic de Bure par la combe Ratin, toujours aussi grandiose.

On n’était certes pas très nombreux mais comme d’habitude, l’ambiance était chaleureuse et le banyuls de Yann… délicieux.

Dominique

6 septembre : Sortie en Bauges

Ce dimanche 06/09 nous étions 7 stdistes à découvrir les vastes et bucoliques alpages du col d’Orgeval sous le soleil, puis les pentes raides, austères et aériennes de l’Arcaloc dans les nuages.

Ce sommet s’atteint par une succession de passages d’escalade facile mais où prudence et concentration s’imposent (ce que nous fîmes).

Le panorama doit y être superbe puisqu’il s’agit du point culminant des Bauges. Nous reviendrons…

Une journée bien remplie : 1300 m de dénivelé / 4H de montée, 3H de descente… et arrêt à la bergerie de l’Aup de Seythenex pour achats de tommes de chèvres.

Bravo aux participants qui ont été au top !

Jean-Louis

31 juillet au 3 août : Séjour en Ubaye

La semaine dernière,  nous sommes allés en ubaye comme prévu sur le programme alpinisme pour aller grimper en grandes voies et arête . Nous n’ avons malheureusement pas pu former deux cordées de deux donc , nous sommes partis Dominique et moi-même pour 4 jours.
Le 1er jour, route et école d’escalade au  » pont voûté  » sur du calcaire.
Le 2ème jour, traversée d’arête gélinasse – peigne.
Le 3ème jour, grande voie à la belle aiguille P.andré.
Le 4ème jour, tentative de voie à la tête du sanglier (échoué par ma faute ,  ça arrive …..)
et route de retour en Isère.
Le rocher fût excellent, les cotations parfois assez sévères et l’équipement  plutôt « aéré « .
Grand calme en montagne là-bas.

Bénédicte.

25 juillet : Sortie alpi

Belle sortie alpi avec Bénédicte ce samedi avec la traversée des très esthétiques aiguilles de l’Argentière : enchainement de l’aiguille Capdepon, de la pointe Elisabeth puis de l’aiguille de la Combe pour finalement rejoindre le col de la Combe. Comme dit Bénédicte, ça occupe. A part un peu de stress dû à un rappel coincé, parcours agréable et varié en rocher assez bon offrant de magnifiques panoramas sur 360°. 2 longueurs en 5A (à l’ancienne !) à compléter tout de même, magnifiquement surmontés par une Bénédicte au sommet de son art.

Dominique

19 juillet : Grand Ferrand par l’arête Est

Ce dimanche matin, sur les cinq STDistes prévus, nous n’étions plus que trois au parking. L’heure très matinale a quelquefois raison des meilleures volontés. Nous trois restants sommes partis de Lachaup à 8H10, à pied, sur la piste. Presque au bout de celle-ci, nous avons rencontré un campement de spéléos, à l’heure du café et des brioches. Un peu plus loin, la piste effectue un changement de direction à 135°, et à cet endroit critique un petit sentier bien marqué conduit le randonneur rêveur dans le canyon des Adroits. A cette époque de l’année, le canyon est fleuri et sec, et même la dalle de la corde à nœuds ne laisse apparaître qu’un léger suintement. Sortis du canyon, nous montons pleine pente Sud au Chourum des Adroits, reconnaissable à ses dimensions gigantesques et son lieu de bivouac. Un couple de jeunes traverse le chourum et monte directement dans la barre de Girier au-dessus ; nous, nous redescendons de quelques marches et prenons la trace bien marquée qui monte sous la barre de Girier. Au plateau 2200 m (reconnaissable à son champ d’orties et de bons-henris), comme Jean-Luc a lu dans la sombarderie qu’une bonne trace traverse à l’horizontale à travers le pierrier du Pas de la Cloche à l’aplomb du tunnel, au lieu de traverser jusqu’à nous trouver sous l’aplomb du tunnel, nous montons à peu près par la rive gauche du thalweg presque jusqu’au Pas de la Cloche. Pas très facile de déceler une bonne trace qui traverse dans un champ de cailloux déjà plein de traces dans tous les sens. Après avoir fait un pas en avant, deux pas en arrière pendant quelques minutes, nous trouvons la bonne trace sombardière. Effectivement, vu de loin, celle-ci conduit bien à l’aplomb du tunnel. L’ennui, c’est que vu de près, le nez sur les traces, on a dépassé l’aplomb du tunnel, et ça a fait « hop », le tunnel a disparu derrière le pilier. Ayant perdu de vue le tunnel, nous avons suivi trop loin le pierrier vers la gauche, et nous sommes montés dans un champ de grosses marches moitié herbues moitié pierrées, finalement jusqu’à retrouver l’arête. Ben alors, il est où le tunnel ? Ainsi nous avons évité, sans le faire exprès, le petit champ d’herbe de sortie du tunnel, très très raide, où il faut bien s’accrocher aux touffes. Et nous avons trouvé un 2ème passage fréquentable. Au bout de l’arête Est, très facile, on retrouve la vire olympique d’un côté (pas engageante du tout), et la voie normale de l’autre. Comme on est resté 1H au sommet, et encore 1/2 heure assis dans la pente d’herbe raide en dessous du Vallon Froid à regarder pourquoi et comment on n’a pas trouvé le tunnel, on n’est rentrés à la voiture qu’à 17H45. A Lachaup, il y a une fontaine, fort utile.

Yann

18 et 19 juillet : Weekend alpinisme à la lavey

Malgré l’absence de participants à la sortie alpinisme prévue au programme à l’arête des papillons, nous sommes quand même, Dominique et moi-même,  allés parcourir celle-ci. Une sympathique arête,  au-dessus du lac des bêches,  en terrain d’aventure (4 pitons sur l’itinéraire). La fin de l’arête se termine par un peu de désescalade pour aller chercher un rappel. Le reste de la descente se faisant dans un couloir nord plutôt raide, mais qui était en bonne condition. Encore une bien belle journée en montagne.

Bénédicte

5 juillet : Journée formation Alpi avec Philippe Bertrand

Dimanche dernier nous nous sommes retrouvés 5 Stdistes pour une journée à la Grave.

Philippe avait décidé de nous porter jusqu’au pic de la Grave et c’est finalement près du col de la Lauze que nous passerons la majeure partie de la journée car trop de monde au pic.

Nous avons pu passer en revue un maximum de choses nécessaires à la sécurité sur glacier (encordement, progression, assurage…) une journée bien remplie et toujours trop court pour peaufiner les différents ateliers. Philippe n’est vraiment pas avare de conseils en bon professionnel qu’il est, il a pris le temps de nous conseiller , corriger …

En conclusion une belle et bonne journée bien remplie en compagnie de Beatrice,  Lucas, Arnaud, Dominique.

Dédé

4 et 5 juillet : Mariande

Cinq STDistes sur neuf sont allés au col de la Haute Pisse, après avoir bivouaqué au Ser de la Cochette (plateau à 1850 m environ, sur le sentier qui va de l’Alpe du Pin à la Mariande, dont le nom n’apparaît que sur l’ancienne carte violette). C’est toujours aussi beau, plein de lis orangé en bas, plein de granit en haut. La source du Ser de la Cochette est un tout petit filet d’eau, qui coule de 3 m au-dessus du sentier à 3 m au-dessous du sentier, à 5 mn de marche en dessous du plateau-à-bivouaquer… Mais on avait la vache à eau. A partir du coucher du soleil, les moustiques nous ont bien fait comprendre qu’ils étaient affamés, mais heureusement, ils sont d’une espèce diurne, et ont la bonne habitude d’aller faire dodo quand la nuit tombe.

Yann.