CR d’Alice L.
Réveil un peu avant 7h30. Un petit coup d’œil par la fenêtre nous indique une belle journée!
Après un copieux petit déjeuner nous voilà repartis au départ de l’IRAM, téléphérique de Bure vers 1450m.
Quelques minutes de portage jusqu’au premier pylône. On chausse vers 10h et on emprunte le chemin forestier quelque peu caillouteux (mais avec les peaux ça passe!). Il nous permet de traverser pour accéder au vallon froid.
Montée jusqu’à 2000m. Nous cherchons des yeux les chamois mais pas d’indices de leur présence. Nous sommes tantôt au soleil, tantôt nous prenons un petit « grain » neigeux. Sûrement un clin d’œil de la Bretagne en l’honneur de Le Bars et Le Berre ici présents!
Nous retirons les peaux au col sur une bosse, près d’un trou dans la neige dont on ne voit pas le fond. On garde nos distances pour justement éviter d’aller voir le fond de trop près !
Nous faisons une belle descente en poudreuse dans le vallon d’ânes. Un peu à l’aveugle dans les nuages. Nous contournons à distance une coulée descendue sur notre droite.
Petit pique-nique près d’un épicéa. Le pic de Bure joue à cache-cache et nous l’apercevons par moments. Ainsi que nos traces de descente: cheminement parfait, on n’aurait pas fait mieux en y voyant clair! Nous repeautons pour monter jusqu’à la cabane. Là, Dédé repère enfin les chamois planqués derrière les épicéas.
Fin de la descente dans une petite couche de poudre encore bien agréable !
Nous nous retransformons en bêtes à cornes amovibles pour la fin.
Et arrivés en bas: surprise, il n’est que 15h et nous sommes loin d’avoir eu besoin de la traditionnelle frontale des sorties de Dédé!
Ps: j’ai bien fait de dormir dans le Dévoluy car le Simon-réveil-matin à sonné à 5h20!
Après un copieux petit déjeuner nous voilà repartis au départ de l’IRAM, téléphérique de Bure vers 1450m.
Quelques minutes de portage jusqu’au premier pylône. On chausse vers 10h et on emprunte le chemin forestier quelque peu caillouteux (mais avec les peaux ça passe!). Il nous permet de traverser pour accéder au vallon froid.
Montée jusqu’à 2000m. Nous cherchons des yeux les chamois mais pas d’indices de leur présence. Nous sommes tantôt au soleil, tantôt nous prenons un petit « grain » neigeux. Sûrement un clin d’œil de la Bretagne en l’honneur de Le Bars et Le Berre ici présents!
Nous retirons les peaux au col sur une bosse, près d’un trou dans la neige dont on ne voit pas le fond. On garde nos distances pour justement éviter d’aller voir le fond de trop près !
Nous faisons une belle descente en poudreuse dans le vallon d’ânes. Un peu à l’aveugle dans les nuages. Nous contournons à distance une coulée descendue sur notre droite.
Petit pique-nique près d’un épicéa. Le pic de Bure joue à cache-cache et nous l’apercevons par moments. Ainsi que nos traces de descente: cheminement parfait, on n’aurait pas fait mieux en y voyant clair! Nous repeautons pour monter jusqu’à la cabane. Là, Dédé repère enfin les chamois planqués derrière les épicéas.
Fin de la descente dans une petite couche de poudre encore bien agréable !
Nous nous retransformons en bêtes à cornes amovibles pour la fin.
Et arrivés en bas: surprise, il n’est que 15h et nous sommes loin d’avoir eu besoin de la traditionnelle frontale des sorties de Dédé!
Ps: j’ai bien fait de dormir dans le Dévoluy car le Simon-réveil-matin à sonné à 5h20!