19 janvier : Les Riondes

Nous n’étions que quatre, car finalement Daniel a dit « moi j’aime pas les Riondes ».
A la montée et à la descente, le chemin en passant par la prise d’eau
à 1400 m est une bonne option, au prix de 25 m de dénivelé en plus dans
les deux sens, mais c’est pas grave vu que c’est du plat. Le milieu de la
combe, après la traversée du ruisseau (on déchausse comme l’année dernière,
toutefois avec beaucoup moins de hauteur de neige sur la passerelle), est plein
de cailloux plus ou moins gros et plus ou moins enfouis sous la surface du
blanc manteau. Un peu plus haut, sous la bifurcation vers le lac de Crop,
c’est l’enfer verne ; la scie et le coupe-branches doivent faire partie
de l’équipement du randonneur ; heureusement Trottinette a trouvé un
passage en suivant plus ou moins des vieilles traces de descente qui
paraissaient elles-mêmes suivre le sentier d’été. Le haut était très
bon, à la montée comme à la descente (excellente poudreuse non tracée ;
on était les premiers dans la combe du haut !).

Yann