Comment un plan B devient une belle sortie dans la face NE du Moucherotte ; passage par la grotte Vallier à 1520m d’altitude.
Merci à Jean-Louis pour cette bonne idée.
Christian
Au début de ce mois d’août, nous étions quand même quatre STDistes pour faire la boucle cascade de l’Oursière, lac David, Grande Vaudaine, Petite Vaudaine et retour, à partir des Seiglières, en nous plongeant trois fois dans l’eau : au lac David (frais), au petit lac à la bifurcation au pied de la Petite Vaudaine (chaud), et dans le torrent au-dessus de la cascade (là ça caillait franchement).
Yann.
Nous étions 7 stdistes pour affronter la bise et les nuées au Pas de l’Aiguille, puis lors la traversée du plateau de Peyre Rouge.
Mais le soleil nous attendait à la Carrière Romaine, notre objectif. Juchés sur leur piédestal certains se sont pris pour César, d’autres pour Vénus… mais passons !
Pour la majeure partie de ce parcours, et jusqu’au Pas de la Selle, nous avons utilisé au mieux des petites sentes désertiques à peine visibles, mais cairnées.
Retour par le Col de l’Aupet et descente sur Richardière, suffisamment fatigués pour apprécier la terrasse du « Gai soleil du Mont Aiguille ». Un sympathique dimanche.
Jean-Louis
Nous avons fait la boucle Pont de Valombre -> le Collet -> sommet du Charmant Som -> point 1729 -> Chamechine -> fontaine de l’Oursière -> col de la Cochette -> Malamille et retour à la voiture (1300 m de dénivelé). Déjà, au Collet, nous avons pu apercevoir en face quelques Rupicapra cartusiana nonchalantes et le troupeau des mouflons mâles, la moitié broutant dans la prairie et le bois, l’autre moitié se reposant dans le pierrier. A la redescente du sommet, après le point 1729, plus personne dans les cailloux (faut dire qu’il y a encore des névés assez conséquents dans le couloir du Charmant Som). Après la remontée à Chamechine, à partir du début de la descente du plateau du haut, on entend « bêêêh » dans le lointain, et… un peu plus bas, y’avait de beaux troupeaux, les prairies étaient pleines de brebis et d’agneaux.
Yann.
Comme nous n’étions que deux, et que la météo allait nous faire une
grosse bise, nous sommes allés à Mont Saint Martin, sur le chemin
des Bannettes, où il n’y avait presque pas un poil de vent,
mais où il ne s’est pas arrêté de tomber une neige très fine qui
s’insinuait partout même sous les pessières les plus sombres. Départ de
l’église à 750 m, avec 5 cm de lourde, arrivée en haut du pré de
mi-parcours à 1370 m, avec 25-30 de poudre. Comme Anne n’avait pas pris
ses gants et ses guêtres, on n’est pas allés plus haut. Je ne sais pas
si on a bien fait de renoncer à Saint Laurent du Pont et à Repison,
mais on a bien fait de renoncer aux arêtes du Néron.
Yann
Nous étions cinq et il faisait assez beau. Le sentier de Pré Marcel était sec (et il est en bon état). J’ai pu mesurer le conduit de fumée du refuge. On a trouvé l’enneigement quasi-continu à 2100 m dans le vallon de la Mine de Fer. Le troupeau de chamois était au rendez-vous sous le Grand Replomb.
Yann.