3 juin : sortie Sabots de Vénus

Nous avons vu les sabots de Vénus, les bouquetins de service, les dryades
octopétales, les tulipes sauvages, les trolles, le Mt Aiguille et le
Grand Veymont. Nous avons goûté des cerises, des vins et des chocolats
divers au sommet de la Montagnette.
Nous n’avons pas échappé à la pluie, mais c’est la faute de Météo France: l’orage de 17H avait 1 heure 1/4 d’avance

Yann

Ascension 2017 : séjour Valdrôme

L’Ascension 2017 a emporté une douzaine de stdistes dans le sud-est de la Drôme

Au premier jour de notre voyage, une première randonnée a conduit le groupe sur le belvédère de Luc en Diois, dénommé Pic de Luc, mais il ressemble plus à un mamelon.

Poursuivant le trajet, un nouvel arrêt s’est imposé au Claps et Saut de la Drôme, site désormais très touristique, dont l’origine est la conséquence d’un effondrement gigantesque de la montagne en 1442 ; Amis grimpeurs, il y a de jolis blocs pour user les chaussons et la Drôme au pied, avec le caleçon bien entendu.

Une fois installé au joli village de Valdrôme, au gîte de l’Oustaou, confortable et bien nourri, le groupe a enchaîné 2 longues et belles balades d’environ 1000m D+ et 17km :

Montagne de l’Aup suivi du Duffre et du Bonnet Rouge le vendredi, avec en cadeau une petite harde de chamois peu sauvage

Crête de Tarsimoure le samedi,

Le dernier jour a permis de visiter les sources de la Drôme, site en revanche très modeste, et d’effectuer une belle échappée à partir du hameau Chamel jusqu’au sommet de Banne et son superbe point de vue.

En définitive, un séjour dans un beau pays de collines, qui nous change des sentiers d’altitude, avec tout de même quelques cheminements escarpés, des planeurs silencieux, savoir des vautours majestueux, et une orchestration florale magnifique avec notamment des gentianes bleues en toute puissance, et, pour la première fois pour la plupart des participants, des éclatantes pivoines sauvages.

Sortie organisée par Daniel

28 mai : Boucle cascade de la Pisse et plateau d’Emparis au départ des Aymes

Nous étions quatre pour faire une jolie boucle à
partir des Aymes (hameau de Mizoën) : départ par le sentier du bas,
montée au plateau des Clots, arrêt à la mare (bien aménagée avec
passerelles d’observation des têtards et des sangsues) ; on passe
ensuite devant le refuge des Clots, mais on ne s’y arrête pas car ce
n’est pas l’heure du café ; on monte directement à la cascade de la
Pisse, et on s’arrête à la grosse source pétrifiante, où
on évite de se tremper pour ne pas être transformés en caillou ; ensuite
plateau d’Emparis, très bien pour déjeuner, et retour par le sentier du
haut et un autre vallon, avec des ruines de haberts en pierre, très jolis
aussi. Il y a beaucoup de bouts de sentier taillés dans les schistes
illustrés, et des orchis militaires et civils, dans cette balade.

Yann

14 Mai : Ballade en Chartreuse

Nous avons fait une jolie boucle au départ du
pont des Allemands, en passant par les Haberts des Rochers, de Corde et
de Billon. Nous avons vu deux chevreuils broutant à la prairie d’Arpison
(c’est dire comme il y avait la foule !), et nous sommes revenus à la
bagnole avec les godasses propres.

Yann

5 mai : Grand Van et neige fraîche

Beau Grand Van ce matin, en partant du Recoin. Excellente neige bien poudreuse
pour descendre de la Croix jusqu’aux Robert. Neige encore poudreuse pour
descendre du sommet jusqu’à la petite mare au Sud du col de la Lessine.
Très chaud pour remonter jusqu’au col de la Botte. Une petite brise à la
Croix pour manger. Ensuite de la lourde, mais bien skiable, pour
descendre de la Croix jusqu’au Recoin en début d’après-midi. 1250 m de
dénivelé, mais, bien sûr, on a remis deux fois les peaux

Yann

Planchard les 29 et 30 avril 2017

S’il faut résumer d’un mot : croûtasse d’anthologie.
Nous n’étions que deux Stdistes pour affronter les ours blancs
déchaînés annoncés par Météo France. Presque tous les randonneurs
avaient annulé leurs réservations. Nous avons eu le refuge presque pour
nous tout seuls. Heureusement pour nous et pour la trace, trois amis
d’Aurélien étaient montés le rejoindre vendredi. Nous sommes allés
jusqu’à la brèche Giraud-Lézin (3666 m, mais pas plus)

Yann